@article{Libis_2018, title={DU MARTIN-PECHEUR A LA MANTE RELIGIEUSE}, volume={1}, url={https://periodicos.ufrn.br/interlegere/article/view/15294}, DOI={10.21680/1982-1662.2018v1n22ID15294}, abstractNote={<p>Force est de constater que Gaston Bachelard et Roger Caillois ne sont guère convoqués par ce que l’on a appelé parfois la <em>French Philosophy</em>. Ce sont pourtant deux penseurs profondément originaux et qui se tiennent à la lisière de la cartographie philosophique. Curieusement, ils sont d’abord présents l’un et l’autre dans la création de la revue <em>Inquisitions</em> qui paraît en 1936 et dont un seul numéro connaîtra le chemin de la publication. Plus tard leurs chemins vont nettement différer et les références de Bachelard à Caillois se limiteront surtout aux traités sur le mythe et sur le sacré. L’un et l’autre vont cependant côtoyer des préoccupations souvent communes: le destin de la poésie, les ambitions de la science, la splendeur des règnes minéraux et végétaux. Il faut y ajouter une relation subtile à la question métaphysique du sens et à sa réduction éventuelle. En tout cela d’ailleurs, les différences d’approches l’emportent sans doute sur les analogies. Peu nous importe: nous avons là affaire à deux cheminements solitaires, d’une puissance hors du commun.</p> <p><strong>Mots-clés</strong>: Inquisitions. Mélancolie. Dualisme.</p>}, number={22}, journal={Revista Inter-Legere}, author={Libis, Jean}, year={2018}, month={ago.}, pages={65–79} }